Où as-tu grandi et comment cette ville natale a-t-elle façonné ta personnalité ?

J'ai grandi au Cap toute ma vie. J'aime vraiment l'endroit où je vis et je n'y changerais rien. J'ai fréquenté une école traditionnelle de garçons où le rugby était le sport principal et j'étais l'un des seuls à faire du vélo. Cela m'a vraiment aidé d'avoir des amis qui n'étaient pas cyclistes et qui aimaient d'autres choses.

Comment décrirais-tu ton style de pilotage en trois mots ?

Je pense que je roule de manière assez agressive mais en douceur. J'ai fait de l'enduro dans le passé et je pense que ma maîtrise technique est supérieure à la moyenne.

Quel est ton single ou terrain favori ? Qu'est-ce qui le rend spécial à tes yeux ?

Je n'ai pas exactement de piste préférée, mais j'aime beaucoup les descentes très raides, lentes et techniques, ainsi que les singles des bike parks.

Si tu pouvais donner un seul conseil à ton "toi" plus jeune, ce serait quoi ?

Ne te compare pas aux autres, tu es sur ton propre chemin.

Avais-tu des héros ou des modèles en grandissant ?

Un bon ami à moi, Manie Lubbe, était aussi un de mes héros. Il avait quelques années de plus, on s’entraînait ensemble, il me poussait toujours à donner le meilleur de moi-même, tout en gardant le fun au centre. Il est malheureusement décédé quand j’étais encore à l’école. Je me suis fait tatouer une blague qu’on partageait, en souvenir de lui.